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mercredi 28 janvier 2015

Smoking: Toward an increase in tobacco prices in 2015

The Finance Bill has changed the method of calculating excise duty and indirect tax generally levied on the consumption of luxury goods such as tobacco and alcohol.

Enacted on December 29, 2014 by Paul Biya, President of the Republic of Cameroon, the text provides for a 15% increase of excise duty. It therefore rises from 25% to 40%.
According to information obtained from the Directorate General of Taxation, the new excise duty rates would double the prices of different tobacco products sold in Cameroon.

The civil society welcomes this measure which will reduce drug abuse and smoking among Cameroonians because of a substantial price increase.

mardi 27 janvier 2015

Smoking cessation: shortage of nicotine substitutes in Yaounde

Nicotine substitutes, the allies of cessation are now found in Yaounde. Consequently people undergoing the cessation lack clinical compensation means.
Patches, gum, chewing gum, inhalers ... nicotine substitutes are increasingly less accessible
According to some pharmacists, the shortage of nicotine substitutes is related to the supply chain of this type of medication.
Given this situation, it is important that the Cameroonian State solves the problem by registering nicotine replacement products in the list of essential drugs.

vendredi 23 janvier 2015

Commerce du tabac : Les industriels à l'assaut des étudiants Camerounais

Face aux contrôles de plus en plus restrictifs dans les métropoles camerounaises, l’industrie du tabac s’est tournée vers les périphéries, notamment dans les villes dites universitaires, avec une cible fragile : les jeunes étudiants.
Soa, petite bourgade située à 15 km de Yaoundé,  sous l’ombre reposante d’un bistrot qui jouxte le campus universitaire, Olivier, étudiant en première année Sciences Politique, échange sur la décentralisation avec ses amis. Cette scène de cogito est recouverte par un épais voile de fumée qui s’échappe des cigarettes qu’ils ont achetées à 150 FCFA le paquet de 10 dans la cahute du vendeur du coin.
« Mes amis et moi fumons tous », confie Olivier, en inhalant une profonde bouffée avant d’expirer lentement la fumée par le nez. « C’est plus facile pour nous d’acheter le tabac ici par rapport à Yaoundé.  Car ici, nous avons des cigarettes peu coûteuses qui sont rares sur Yaoundé » poursuit-il entre deux bouffées toxiques.

jeudi 15 janvier 2015

Lutte anti tabac :pourquoi faut-il adopter une loi au Cameroun

Elle porte sur des mesures visant la réduction du nombre de fumeurs. Les explications la Coalition camerounaise contre le Tabac.

17,5% de la population sont fumeurs de tabac au Cameroun. Une forte partie de la population se trouve dépendante de cette drogue douce, et les plus jeunes ne sont pas épargnés. D'après les chiffres communiqués par la Coalition camerounaise contre le tabac (C3T), « 6,4% d'élèves ont reçu des cigarettes gratuites des représentants de compagnies de tabac. En milieu scolaire, 44% d'élèves ont déjà eu un premier contact avec le tabac. » Une exposition des plus jeunes à l'emprise de la cigarette, qui n’est pas sans incidence sur leur avenir raison pour laquelle la C3T milite pour l’adoption d’une loi anti tabac au Cameroun.
En effet, cette loi, en plus de protéger les jeunes et les enfants, veut préserver la santé des fumeurs passifs, ces personnes qui cohabitent ou sont souvent en contact avec des fumeurs. Toujours selon le rapport de la C3T, « deux tiers des maladies cardiovasculaires sont liées au tabagisme passif. Chaque année, l'exposition au tabagisme passif est responsable de plus de 600.000 décès prématurés. » La loi anti-tabac veut assurer la santé de ces fumeurs passifs, par exemple grâce à la création d'espaces non-fumeurs dans les lieux publics. Cependant, les défenseurs de cette loi sont confrontés aux arguments des grandes firmes de l'industrie du tabac.

mercredi 14 janvier 2015

C3T : du sevrage tabagique de nouveau au menu

Le contrôle du tabac implique une réduction de la demande par la prise en charge des fumeurs. La C3T  propose le sevrage tabagique ouvert à tous.
Pour la C3T, la remise en place en place de ce système de consultation et de suivi, correspond tout à fait à sa démarche de prévention et sa notre mission de santé publique.
Qui est concerné par ces consultations ?
« Tous ceux qui ont un problème avec le tabagisme, que l'on soit majeur ou mineur. Les personnes qui ont simplement envie de réduire leur consommation peuvent venir aussi », explique Judith Chekumo, responsable de cette unité.
Quand et comment ?
Les consultations ont lieu sur rendez vous,  au siège de la C3T, sis à Titi-garage, immeuble la « Grace Divine », tél. (237) 242.015.572. 

mardi 13 janvier 2015

Yaoundé : pénurie de substituts nicotinique

Les substituts de nicotine sont actuellement difficilement accessible voire indisponible à Yaoundé.
Patchs, gommes, pastilles, chewing-gum, inhaleurs… les substituts nicotiniques sont de moins en moins accessible. En vente libre en pharmacie, ils constituent les premiers alliés de votre tentative d'arrêt.
Selon quelques pharmaciens, la pénurie des substituts de nicotine est liée à la chaîne d’approvisionnement de ce type de médicaments. Le problème est d’autant plus criant que les substituts  sont le moyen le plus efficace pour l’arrêt du tabac.
Face à cette situation, il est important pour l’Etat du Cameroun de palier le problème en inscrivant les substituts de nicotine dans liste des médicaments disposant d’une subvention. 

lundi 12 janvier 2015

Tabagisme : Vers une hausse des prix du tabac en 2015

La loi de finances a modifié la mode de calcul des droits d’accises, impôt indirect généralement perçu sur la consommation des produits de luxe comme le tabac et l’alcool.
Promulgué le 29 décembre 2014 par Paul Biya, Président de la République du Cameroun, le texte prévoit l’augmentation des droits d’accises  de 15%. Il passe ainsi de 25% à 40%. 
Selon les informations obtenues auprès de la direction générale des Impôts, le nouveau taux des droits d’accises feraient doublés les prix des différents produits de tabac en vente au Cameroun.
La société civile accueille avec satisfaction cette mesure qui va permettre de réduire la toxicomanie et le tabagisme auprès des populations camerounaises par une augmentation de prix conséquente.
Cette mesure marque la volonté de l’Etat camerounais d’améliorer le contrôle de ces produits nocifs pour la santé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).Cette nouvelle mesure devrait permettre une augmentation de taxes et des recettes de l’état.